Anne Hidalgo

Anne Hidalgo est une figure majeure de la vie politique française et européenne. Élue Maire de Paris en 2014, puis réélue en 2020, elle est la première femme à diriger la capitale française en plus de 2 000 ans d’histoire. Son engagement en faveur de la transition écologique, de l’inclusion sociale et de la démocratie urbaine fait d’elle une personnalité incontournable sur la scène internationale.
Née en Espagne, à San Fernando, le 19 juin 1959, elle arrive en France avec sa famille à l’âge de deux ans, fuyant la dictature franquiste. Ce parcours forge son attachement profond aux valeurs républicaines françaises : égalité, justice sociale, émancipation. Juriste de formation, elle commence sa carrière comme inspectrice du travail avant d’intégrer plusieurs cabinets ministériels sous Lionel Jospin et Martine Aubry, où elle se spécialise sur les questions d’égalité professionnelle et de droits sociaux.
En 2001, elle devient adjointe au Maire de Paris Bertrand Delanoë, avant de lui succéder en 2014. Ce basculement est historique : pour la première fois, une femme prend la tête de la capitale française. Réélue en 2020, elle poursuit son ambition de faire de Paris une ville plus verte, plus respirable et plus solidaire, malgré un contexte marqué par des crises sociales et sanitaires.
Sous sa mandature, Paris s’est imposée comme un laboratoire urbain. La piétonnisation des berges de Seine, l’essor des pistes cyclables, la végétalisation de l’espace public ou encore la politique volontariste de logements sociaux illustrent sa vision d’une ville durable, résiliente et inclusive. Si ces transformations ont parfois suscité des controverses, notamment sur la circulation, elles traduisent une volonté assumée d’adapter la capitale aux défis du XXIe siècle.
Au-delà des frontières, Anne Hidalgo s’est affirmée comme l’une des figures de proue du réseau international des grandes villes. Présidente de l’association C40 Cities de 2016 à 2019, elle a défendu l’idée que les métropoles ont un rôle clé dans la lutte contre le dérèglement climatique et la préservation des démocraties locales. Convaincue que l’Europe doit être un espace de solidarité et de progrès, elle milite pour une coopération renforcée entre les villes et les institutions européennes.
Depuis son accession à la mairie, Anne Hidalgo accueille chaque année le Sommet IMPACT² à l’Hôtel de Ville de Paris. Ce rendez-vous est devenu un symbole de l’alliance entre innovation sociale, économie à impact et engagement citoyen. En ouvrant une nouvelle fois ses portes à la 12e édition de l’événement, elle réaffirme son attachement à ces combats : construire une société plus juste, durable et démocratique.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Nicolas Hazard

Nicolas Hazard est un entrepreneur français dont l’engagement repose sur une conviction forte : l’économie peut et doit être un levier de transformation sociale et environnementale.
Il est le fondateur d’INCO, une organisation pionnière dans l’impact, qui finance et accompagne les entrepreneurs et propose des programmes de formation aux métiers de demain. INCO déploie ses initiatives dans plus de 140 pays.
Au fil des années, Nicolas Hazard a été sollicité pour apporter son expertise aux plus hautes sphères politiques et institutionnelles. Il a notamment conseillé Romano Prodi, ancien Premier ministre italien, sur les stratégies économiques et d’emploi, ainsi que sur le projet de TGV Lyon-Turin. Il a également présidé le Conseil Stratégique de la Ville de Paris ouvrant la voie vers la candidature victorieuse des Jeux Olympiques de 2024, en veillant à en faire les premiers Jeux socialement inclusifs et écologiquement responsables.
Il a également accompagné plusieurs ministres français sur les enjeux d’économie sociale et est conseiller spécial auprès de la Commission européenne depuis 2020, sous la présidence d’Ursula von der Leyen et le commissaire Nicolas Schmit. Son influence dépasse les frontières françaises, puisqu’en 2023, il a rejoint le conseil du gouvernement allemand sur l’innovation sociale, aux côtés de la ministre de l'Éducation et de la Recherche Bettina Stark-Watzinger.
En 2022, il a été invité par la Réserve fédérale américaine à présenter son livre The Future of Work et à partager ses recommandations pour une transition équitable du monde du travail.
En France, il conseille discrètement plusieurs présidents de région influents, tels que Valérie Pécresse (Île-de-France), Carole Delga (Occitanie), Renaud Muselier (Région Sud - PACA) et Alain Rousset (Nouvelle-Aquitaine).
Nicolas Hazard est également à l’initiative d’IMPACT², l’un des événements international des plus prestigieux sur l’innovation sociale, qui réunit chaque année 1 500 décideurs de 50 pays à l’Hôtel de Ville de Paris. Evènement qui fête en 2025 sa 12e année.
Essayiste engagé, il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont The Future of Work (Flammarion, 2022) et Happy End (Flammarion, 2023). Il contribue régulièrement à The Guardian, au Stanford Social Innovation Review, et tient une chronique mensuelle sur la nouvelle économie dans Le Monde.
Reconnu pour son action, Nicolas Hazard a reçu plusieurs distinctions prestigieuses :
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SXSW Community Innovation Award
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Young Global Leader du Forum Économique Mondial
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Young Leader de la French-American Foundation
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Young Leader de la French-British Foundation
Parlant couramment cinq langues, il est convaincu que seule une coopération internationale forte permettra de relever les défis majeurs de notre époque. Cette vision transparaît dans l’ensemble de ses actions, qui visent à bâtir des solutions transfrontalières capables d’être déployées à l’échelle mondiale.
Mette Frederiksen

Figure incontournable de la politique danoise, Mette Frederiksen incarne une nouvelle génération de dirigeants animés par un engagement profond en faveur de la justice sociale et de la démocratie. Première ministre du Danemark depuis 2019, elle est aussi, depuis 2015, à la tête du parti social-démocrate, qu’elle a su mener avec force et détermination. Elle est la deuxième femme à occuper ces fonctions et demeure, à ce jour, la plus jeune cheffe de gouvernement de l’histoire du pays.
En 2001, à seulement 24 ans, Mette Frederiksen entre au Folketing, le parlement danois, où elle représente la région de Copenhague. Son parcours au sein du gouvernement est marqué par des responsabilités clés : ministre de l’Emploi de 2011 à 2014, puis ministre de la Justice de 2014 à 2015, elle se distingue par sa rigueur et son engagement en faveur des travailleurs et de la cohésion sociale.
Lorsque les sociaux-démocrates perdent les élections en 2015, elle prend la tête du parti et se positionne en leader de l’opposition. Son travail de reconstruction politique paie : en 2019, elle remporte les élections générales et forme un gouvernement minoritaire, s’appuyant sur un équilibre subtil avec les autres partis de gauche.
À la tête du pays, Mette Frederiksen impose un leadership pragmatique et résolu. Son mandat est profondément marqué par la pandémie de COVID-19, qu’elle gère avec une fermeté qui lui vaut autant d’éloges que de critiques. Elle met également l’accent sur les politiques climatiques et sociales, faisant du Danemark un modèle de transition écologique en Europe.
En 2022, son gouvernement est ébranlé par la controverse liée à l’abattage massif des visons, décidé pour enrayer une mutation du virus.
Malgré les critiques, elle réussit à remporter les élections de novembre 2022 et forme une coalition inédite, intégrant des partis du centre et de la droite modérée, preuve de sa capacité à fédérer au-delà des clivages partisans.
Son influence est également saluée sur la scène mondiale : Forbes la classe en 2024 parmi les 100 femmes les plus puissantes du monde.
En 2025, Mette Frederiksen se retrouve une nouvelle fois au cœur de l’actualité internationale lorsqu’une proposition controversée de Donald Trump refait surface : l’achat du Groenland par les États-Unis. Déjà en 2019, l’ancien président américain avait provoqué un tollé en suggérant que Washington pourrait acquérir ce territoire autonome rattaché au Danemark. À l’époque, Frederiksen avait balayé cette idée d’un revers de main, la qualifiant d’"absurde", déclenchant l’ire de Trump, qui avait annulé une visite officielle au Danemark en représailles.
Mais en 2025, le dossier ressurgit avec une intensité nouvelle. Alors que Trump, fraîchement réélu à la Maison-Blanche, relance l’idée de négociations sur la souveraineté du Groenland, Frederiksen adopte une position ferme et sans équivoque : elle réaffirme que le Groenland "n’est pas à vendre" et rappelle avec vigueur le statut autonome de l’île, relevant des décisions de son propre gouvernement à Nuuk.
Son attitude intransigeante face à Trump lui vaut un regain de popularité nationale, mais tend considérablement les relations dano-américaines, à un moment où l’OTAN cherche à renforcer sa cohésion face aux crises mondiales.
Malgré les tensions, Frederiksen sort de cette crise renforcée sur la scène internationale, apparaissant aux yeux de nombreux Européens comme une figure de résistance face aux dérives populistes. Plus que jamais, elle s’impose comme une cheffe d’État déterminée à défendre l’indépendance et les valeurs démocratiques de son pays.
Mette Frederiksen incarne un nouveau modèle de leadership, où la croissance économique rime avec justice sociale et transition écologique. À travers son action, elle s’efforce de concilier héritage politique et modernité, portant haut les valeurs du Danemark sur la scène internationale.
Antonio Costa

Figure incontournable de la politique danoise, Mette Frederiksen incarne une nouvelle génération de dirigeants animés par un engagement profond en faveur de la justice sociale et de la démocratie. Première ministre du Danemark depuis 2019, elle est aussi, depuis 2015, à la tête du parti social-démocrate, qu’elle a su mener avec force et détermination. Elle est la deuxième femme à occuper ces fonctions et demeure, à ce jour, la plus jeune cheffe de gouvernement de l’histoire du pays.
En 2001, à seulement 24 ans, Mette Frederiksen entre au Folketing, le parlement danois, où elle représente la région de Copenhague. Son parcours au sein du gouvernement est marqué par des responsabilités clés : ministre de l’Emploi de 2011 à 2014, puis ministre de la Justice de 2014 à 2015, elle se distingue par sa rigueur et son engagement en faveur des travailleurs et de la cohésion sociale.
Lorsque les sociaux-démocrates perdent les élections en 2015, elle prend la tête du parti et se positionne en leader de l’opposition. Son travail de reconstruction politique paie : en 2019, elle remporte les élections générales et forme un gouvernement minoritaire, s’appuyant sur un équilibre subtil avec les autres partis de gauche.
À la tête du pays, Mette Frederiksen impose un leadership pragmatique et résolu. Son mandat est profondément marqué par la pandémie de COVID-19, qu’elle gère avec une fermeté qui lui vaut autant d’éloges que de critiques. Elle met également l’accent sur les politiques climatiques et sociales, faisant du Danemark un modèle de transition écologique en Europe.
En 2022, son gouvernement est ébranlé par la controverse liée à l’abattage massif des visons, décidé pour enrayer une mutation du virus.
Malgré les critiques, elle réussit à remporter les élections de novembre 2022 et forme une coalition inédite, intégrant des partis du centre et de la droite modérée, preuve de sa capacité à fédérer au-delà des clivages partisans.
Son influence est également saluée sur la scène mondiale : Forbes la classe en 2024 parmi les 100 femmes les plus puissantes du monde.
En 2025, Mette Frederiksen se retrouve une nouvelle fois au cœur de l’actualité internationale lorsqu’une proposition controversée de Donald Trump refait surface : l’achat du Groenland par les États-Unis. Déjà en 2019, l’ancien président américain avait provoqué un tollé en suggérant que Washington pourrait acquérir ce territoire autonome rattaché au Danemark. À l’époque, Frederiksen avait balayé cette idée d’un revers de main, la qualifiant d’"absurde", déclenchant l’ire de Trump, qui avait annulé une visite officielle au Danemark en représailles.
Mais en 2025, le dossier ressurgit avec une intensité nouvelle. Alors que Trump, fraîchement réélu à la Maison-Blanche, relance l’idée de négociations sur la souveraineté du Groenland, Frederiksen adopte une position ferme et sans équivoque : elle réaffirme que le Groenland "n’est pas à vendre" et rappelle avec vigueur le statut autonome de l’île, relevant des décisions de son propre gouvernement à Nuuk.
Son attitude intransigeante face à Trump lui vaut un regain de popularité nationale, mais tend considérablement les relations dano-américaines, à un moment où l’OTAN cherche à renforcer sa cohésion face aux crises mondiales.
Malgré les tensions, Frederiksen sort de cette crise renforcée sur la scène internationale, apparaissant aux yeux de nombreux Européens comme une figure de résistance face aux dérives populistes. Plus que jamais, elle s’impose comme une cheffe d’État déterminée à défendre l’indépendance et les valeurs démocratiques de son pays.
Mette Frederiksen incarne un nouveau modèle de leadership, où la croissance économique rime avec justice sociale et transition écologique. À travers son action, elle s’efforce de concilier héritage politique et modernité, portant haut les valeurs du Danemark sur la scène internationale.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Bernard Cazeneuve

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Sidse Babett Knudsen

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.
Audrey Azoulay

Ministre de l’Intérieur puis dernier Premier ministre du quinquennat de François Hollande, il incarne une autorité calme et inflexible, à la croisée de l’urgence et de la tempérance.
C’est dans la Manche, terre de grands horizons et de fidélités tenaces, qu’il forge son premier ancrage politique. Maire de Octeville en 1995, puis de Cherbourg-Octeville après la fusion des deux communes, il façonne sa réputation d’élu de terrain, pragmatique et proche des citoyens.
Député de la Manche à partir de 1997, il se distingue par son expertise des questions économiques et industrielles, en particulier sur le secteur de la défense et de l’armement, central pour l’économie cherbourgeoise. Européen convaincu, il s’investit dans les relations franco-allemandes et devient un médiateur naturel entre le local et le national, entre l’expertise technique et la vision stratégique.
Son ascension ministérielle commence en 2012, lorsque François Hollande le nomme ministre délégué aux Affaires européennes. Il y affine son goût pour la diplomatie feutrée et les négociations d’alcôve, avant d’être promu en 2013 au poste stratégique de ministre du Budget, en pleine tempête de l’affaire Cahuzac. Il s’impose alors comme un homme de rigueur, un technicien précis, étranger aux postures tapageuses
Mais c’est en 2014, lorsque Manuel Valls quitte Beauvau pour Matignon, que Bernard Cazeneuve hérite du ministère de l’Intérieur, poste le plus éprouvant de la République. Il y affronte une série noire d’attentats qui marqueront profondément le pays : Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice... À chaque drame, il incarne un État debout, réagissant avec sang-froid et gravité, loin des surenchères sécuritaires mais avec une détermination sans faille.
Il est l’artisan d’une modernisation du renseignement intérieur, d’une adaptation rapide des forces de sécurité aux nouvelles menaces terroristes, tout en portant haut une certaine idée de l’État de droit, soucieux de ne jamais céder à l’exception permanente. Cette période fait de lui l’un des ministres les plus respectés du quinquennat, reconnu pour sa maîtrise des crises et son sens aigu de la responsabilité.
En décembre 2016, alors que François Hollande renonce à briguer un second mandat et que Manuel Valls démissionne pour se lancer dans la primaire socialiste, Bernard Cazeneuve devient Premier ministre. Son passage à Matignon, aussi bref qu’intense, est marqué par la transition présidentielle et l’organisation des élections de 2017, dans un climat politique et social sous haute tension.
En 2023, il annonce la création d’un nouveau mouvement social-démocrate, se posant en alternative à une gauche éclatée entre radicalité et renoncements.
Son verbe est rare, son autorité intacte. Dans un paysage politique où les excès et l’hypercommunication sont devenus la norme, Bernard Cazeneuve apparaît comme un responsable public atemporel, incarnant mesure et sens de l’État.